Certains d’entre nous espèrent caresser un jour le rêve de vivre du jeu vidéo ou gagner le gros lot comme à la loterie. Passion pour quelque un ou loisir pour d’autre. Grâce à l’évolution des mœurs et des pratiques, ce rêve n’est plus aussi lointain. Il suffit d’un peu d’audace ou d’impudence et tenter sa chance auprès de donateurs rassemblés sur des plateformes de financement.
Ne vous y méprenez pas, ce n’est pas dans leur politique de laisser les gens vendre du rêves. Non, il est clairement écrit (dans les conditions d’utilisation) que les développeurs devront livrer la marchandise à leurs clients. Nous verrons bien dans 2 ou 3 ans lorsque les plaintes commenceront à tomber, parce que oui, il y a clairement parfois des projets qui ne présentent rien de concret.

Sa réputation n’est plus à faire puisqu’il y a eu beaucoup d’histoires à succès où des projets demandant peu on finalement obtenu le double voir le triple des gains. Que vous soyez une entreprise ou un mec travaillant seul dans une cave, vous avez le droit de présenter votre projet commercial sans payer de droit d’entrée.
Vous ne toucherez pas d’argent si vous n’atteignez pas la somme que vous avez demandé. Comme rien n’est gratuit en ce monde, il n’est pas surprenant que Kickstarter touche une commission de 10% sur le total des gains.
Mon avis ? La majorité des donateurs ne sont pas des connaisseurs, ils peuvent donner de l’argent sur un projet quelconque (donc pas que sur le jeu vidéo) seulement parce que la présentation leur a plu.
Est-ce ouvert aux français ? Non, mais c’est prévu.

Moins populaire que Kickstarter, mais reposant sur le même principe avec quelque catégorie en plus, exemple : la santé (oui, il y en a qui demande de l’argent pour changer de sexe). On aurait pu croire qu’avec son nom, il y aura un plus grand catalogue de jeux vidéo. Bizarrement, non.
Si vous atteignez la sommes souhaitée, Indigogo prend une commission de 4%. Sauf que sur Indiegogo vous avez le droit de toucher la somme des donations même-ci le total des gains n’est pas atteint. Pa contre, une commission de 9% vous sera prélevée par Indigogo. Il y a un autre moyen de financement, semblable à celui de Kickstarter, si vous ne voulez pas qu’Indigogo touche ces 9%.
Mon avis ? Les donateurs semblent moins généreux concernant les jeux vidéo que sur Kickstarter.
Est-ce ouvert aux français ? Oui.

Les français s’y mettent aussi ! Mine de rien, il y a plusieurs types de plateforme de financement créé par des français (Google est votre ami), pour diverse chose et Look at my game fait partit du lot. J’ai découvert ce site grâce à l’émission de No life, elle est spécialisée sur les jeux vidéo.
Mon avis ? Look at my game est un site plus intéressant pour les donateurs plus que les développeurs parce que les français sont par de nature frileuse. Les créateurs du site ont trouvé un bon filon pour rassurés les donateurs : les « royalties » ou plus simplement, recevez un pourcentage de l’argent gagner sur les (futurs) ventes. Selon le bon vouloir des développeurs des jeux, le pourcentage peut-être variable.
Pour clarifier les choses sur la monnaie utilisée, les crédits. 1 crédit = 1 euros.
Look at my game touchera 30% des bénéfices des ventes.