Voilà, et j'ajoute que Kay n'a pas prit son déjeuner parce qu'il pensait qu'il devait d'abord continuer de travailler sur les dialogues de la prochaine section du deuxième donjon.
J'ai encore raison, ou pas ?

Haha, bah si seulement je pouvais travailler sur des dialogues justement, mais l'organisation en amont reste un des derniers défis technique à relever pour la simple raison des traductions. Le fait d'avoir au moins 2 langues est un bon gros puzzle organisationnel avec ce moteur pas conçu avec ça en tête, un de ses plus gros dernier défauts d'ailleurs, car si ça a fait des bonds de géants un peu partout sur bien des points bah niveau gestion des localisations ça reste laborieux. J'espère que ça va aller, je vais éviter de mettre trop le nez là-dedans tout juste en sortant d'un précédant ras-le-bol "burn-out" histoire d'être au moins content d'avoir progressé d'autres trucs avant de rebloquer sur des nouvelles relouteries.
Merci Kayser!

Le plaisir fut (et est) pour moi, d'autant plus si mon travail a pu être source d'une quelconque motivation, inspiration,... J'aime bien ta dernière phrase et le clin d'œil subtile à Koruldia Héritage
De rien

tout s'inspire de tout, que ce soit direct ou indirect. Ou même sans s'en rendre compte, une fois j'ai vu un documentaire sur les neurosciences qui faisait une expérience avec des dessinateurs pour un projet marketing (ou chépukoi) et ils avaient volontairement exposé leurs candidats à des images assez marquées dans leurs styles, sur le chemin du taxi qui amenait les candidats au lieu de rendez-vous, mais chaque candidat avait un chemin différent et exposé à différents complices le long de la route (typiquement quelqu’un qui tient une pancarte de pub sur le trottoir à un feu rouge), et les résultats ont été assez intéressants car les candidats ont eu tendance lors des propositions d’idées visuelles, à reproduire des motifs qu’ils avaient vu sur leurs trajets respectifs.
C’était pour « démontrer » que même inconsciemment, on était affecté par ce qui nous entoure.